Les Aventures de Polat et Osman en Turquıe

Exit Istanbul, bonjour l'Asie !

A nous le plateau anatolien, la Turquie traditionnelle et les petits villages paumes.

Nous voici bel et bien rebaptises Polat et Osman... Polat pour Pierre (jusque la ca se tient) et Osman (ou Ottoman) pour Florent (et la ne cherchez pas de lien !).

Revenu de notre retraite Istanbouliote nous voici reparti pour de nouvelles aventures en Turquie. Nous ? Evet diraient nos turcs, j'ai troque mon velo contre un sac a dos et laisse mon cycliste a qui voulait. Nous voici donc reparti pour de nouvelles aventures...

Notre premiere etape aura ete Bursa, ville fameuse pour sa mosquee verte (bleue en vrai) et son centre industriel (une fois n'est pas coutume nous n'avons pas souhaiter visiter ce dernier.

La mosquee... turquoıse!

A peine assis dans le bus pour Bursa, nous voici assailli par une proposition on ne peut moins attendue de logement. Trop facile ! Nos logeuses au nom imprononcables mais surtout impossibles a retenir s'etalent sur trois generations : la grand-mere, voile et 5 preieres par jours ; la mere, divorcee ; et la fille en tenue mode, coiffeuse. Voici un voyage qui recommence sous de bons auspices ! Au programme, diner turc, soiree chips ;) (au sens jeux + chips). Le lendemain visite de la ville avec comme guide Metlap, notre logeuse-coiffeuse.


Notre coıffeuse guıde et sa grand mere... deux generatıons changent bıen des choses!

Cette escale marque egalement pour Pierre (ou Polat devraıs-je dıre) une longue periode de coups donnes par des petites vielles... (Mon epaule doıt attırer leurs poıngs par je ne saıs quelle force etrange. Drole de manıere de dıre a qqun Je t'aıme bıen!).

Nous finissons par decider d'aller passer la nuit dans le plus petit village de notre carte... qui se trouve etre une ville de 50 000 habitants. ai, le logement ne sera pas evident. 3 librairies (pour trouver une carte decente), 1 the et un diner en compagnie d'Onur (joueur de foot professionnel) plus tard nous nous retrouvons dans la gare a attendre un train de nuit pour Konya 500km plus loin.

Un bon squatteur doıt savoır dormır partout. (Il sera deloge par le gardıen de la gare une heure plus tard).

Le voyage en traın dure 10 heures maıs les plateaux anatolıens et les grands lacs rattrappent une nuıt assıs fort pauvre en sommeıl...

Konya, la ville des Derviches tourneurs, la Bible Belt de turquie nous accueille au petit matin.

Nous partons alors poour une rapide visite de la ville (sanctuaire de Mevlana le fondateurs des derviches sus-mentionnes) avant notre depart sur les traces de St Paul... mais cela est matiere pour un autre post !Hmmm... admırez leur art moderne...

Osman